KIM PETER ▸ Kirsten Zellers

(01) La vie que j'ai passé au Canada, depuis ma naissance était assez douce et complètement paisible. Je vivais dans une assez grande ville de cette contrée blanche où la langue parler était principalement l'anglais. Assez touristique j'ai sus donc vite m'adapté à l'endroit. Nous vivions avec mes parents dans un petit quartier éloigné du centre ville, une petite maison de campagne qui nous as permis de voir des paysages claires et magnifiques. Cependant étrangement, j'ai toujours été très attirés par la ville ! Je voulais y vivre, je voulais toujours m'y rendre. Que ce soit pour y faire des boutiques avec a mère, ou lorsque je devais aller à l'école, je voulais me rendre en ville ! Cela m'intriguait peut-être ? Mais je ne me plains pas de cette campagne, mais je ne souhaites pas m'y rendre de si tôt en tout cas. (02) Je suis fille unique. Mes parents n'ont jamais voulus de second enfant, c'est dommage. J'aurais aimer avoir une petite soeur, ou un petit frère que j'aurais pus chouchouter, habiller, ou maquiller comme un poupon ! Non c'est peut-être mieux finalement, il/elle aurait finis par me détester... Puis l'avantage d'avoir été la seule, c'est que toute l'attention de mon père et ma mère n'étaient tourner que sur moi. Je dois reconnaître cependant une petite chose : je suis devenue un peu capricieuse, mais également égocentrique à cause de cela... Pas que j'ai un mauvais caractère, loin de là, mais j'aime avoir de l'attention des autres. Je ne supportes pas être mise à l'écart rien.  C'est pas ma faute je vous assures,... (03) Parlons un peu de l'école maintenant. Je ne suis pas une flèche, je ne l'ai jamais été dans les études ! J'ai un esprit beaucoup trop dissipé, à la place d'écouter attentivement les professeurs, j'étais surtout entrain de bavarder avec mes amies, ou alors je préférais écrire des partitions de musiques en tout genre sur mes cahiers de mathématiques, de géographie,... Autant dire que ça ne plaisait ni à mes professeurs, ni a mes parents ! Mais encore une fois, ce n'est pas ma faute non plus. J'étais assez apprécié par mes camarades de manière générale, bien sûr on ne peut pas s'entendre avec tout le monde c'est une certitude. Mais mon caractère assez doux, bien qu'impulsif plaisaient beaucoup, autant que mon côté maladroite et têtue pouvaient les faire rire. Je me retrouvais donc souvent, trop souvent en retenue ou avec des punitions pour mon côté trop bavarde. Je n'étais pas assez concentrés et mes notes étaient impactés... Néanmoins, ça ne m'a pas empêcher de réussir... Plus ou moins dans la vie. (04) La plus grande de mes passions n'est autre que la musique ! Dès petite, mes parents me l'ont initié, il faut dire que mon père est guitariste, ma mère violoncelliste. Ils m'ont donc inscrite à des cours de guitare dès l'âge de quatre ans, puis à l'âge de sept ans au piano. Plus tard, lorsque nous vivions à New York, je n'ai rien trouver de mieux : je voulais apprendre la batterie ! En vivant dans un appartement cela restait relativement compliqué. Néanmoins je joues de deux instruments, je ne comptes pas m'arrêter ici. (05) D'ailleurs, je ne vous aies pas encore donner les détails de ma vie à New York ! Oui j'ai vécus à beaucoup d'endroits différent, j'en ai vue des paysages : allant de la neige épaisse aux plus hauts des building moderne pour finir sur les appartements chic parisiens, j'en aurais vus de toutes les couleurs. Bref! Lorsque j'avais douze ans, c'était la pire des nouvelles que mes parents eurent à m'annoncer. Je n'avais pas envie de partir ! Non, Toronto, le Canada, la neige, c'était toute ma vie ! Je ne connaissais que ça, malgré mon attirance pour les grandes villes, je ne voulais pas partir. Puis bien que je ne veuilles pas le reconnaître, j'avais peur. J'avais peur de perdre tout mes repères, de ne pas pouvoir me faire des nouveaux amis. De me retrouver seule. J'avais tord ! Après un temps d'adaptation, un temps d'insultes à mes parents ainsi qu'une fausse petite déprime, j'ai réussis à retrouver ma joie de vivre. Nous vivions dans un très bel appartement du Queens. Assez grand et simple, nous avions une vie très sympathique. Je fréquentais une petite école à quelques rues de chez moi, puis j'y suis rester jusqu'à l'âge de vingt-ans. J'y ai créé des liens fort dans ses rues Américaine, mais j'avais envie d'en voir plus. Je voulais voyager, vivre partout dans le monde. J'en avais tellement entendu parler de cette vie "Française" que je voulais la connaître et la ressentir. J'ai donc tout abandonné et je suis partit. Hop comme ça d'un coup ! (06) Je vais maintenant vous dires la plus grande peur que j'ai et dont j'ai particulièrement honte. J'ai une peur bleue de la solitude. Je ne veux pas me retrouver seule, j'ai toujours besoin de compagnie, c'est pour cette raison que mon meilleur ami m'a accompagner dans mon déménagement à Paris il y a trois ans maintenant. Nous vivons en colocation, puis pour les soirs où je sais que monsieur n'est pas là je m'arranges toujours afin que je sois avec d'autres amis. Je ne suis jamais et je ne veux jamais être seule. Je ne supportes pas cette sensation horrible. Ayant toujours été très bien entouré depuis toute petite, je ne peux pas imaginer les choses autrement. C'est idiot n'est-ce pas ? (07) Maintenant parlons peu, parlons bien ! Mais surtout, parlons de mon caractère. Vous devez déjà le connaître un petit peu au vue des nombreuses choses que vous connaissez désormais ! Mais je vais vous en dires un peu plus. Bien que je ne veuilles surtout pas vous effrayez ! Premièrement, j'ai remarquer que la plus part des personnes de mon entourage me font remarquer mon côté bête, naïve et surtout enfantine. J'ai garder un côté très immature et j'en ai consciente, mais bizarrement, je ne cherches pas à en changer. Devant des vitrines, devant des bonbons, ou devant des attractions vous verrez sans doute mes yeux devenir aussi brillant que ceux des personnages de série animés. Naïve et bête, je me laisses trop facilement manipuler par les autres, je suis également, facilement influençable. J'aime ma liberté oui, je ne veux pas trop me mettre dans une relation sérieuse pour pouvoir profiter, je suis une fille malgré moi trop romantique, sensible, puis un vrai bisounours ! Tactile avec les autres , j'apprécies le contact, je dirais même que j'en ai besoin. Dans mes élans de grands défauts on me également dire que je suis un peu trop insouciante et que j'ignores les possibles danger. Puis avec mon côté tête de mule, je ne veux jamais écoutés les conseils des autres. Confiante, à l'écoute des autres, attentionné, pacifiste ! Oui si l'ont parle des défauts, ils faut aussi dire mes qualités ! Je suis une jeune femme très attentive aux autres. Je suis à l'écoutes et je veux toujours venir en aide aux autres ! Un peu trop généreuse peut-être également. Souriante et dynamique, je ne manques jamais d'énergie,mais je ne manques jamais non plus d'idées plus folles les unes que les autres. (08) Vous commencez à bien me connaître non ? Mais je n'ai pas dis mon dernier mot. Je dois maintenant vous parlez de mes passions (hors celle de la musique). J'aime beaucoup le sport, bien que je sois considérés en grande majorités par mes amies, comme une personne feignante ! Je fais pourtant un jogging tout les deux jours, le matin dans les parcs parisiens. J'aime aussi jouer aux jeux vidéos. Ressemblant presque à une geek, je l'assumes. Puis la fête ! J'aime m'amuser avec les autres, j'avoue avoir un faible pour le sport à deux... Dans un lit... L'histoire d'une nuit, ou plusieurs... Oui sans le vouloir, je m'assumes être une collectionneuse de conquêtes et de sexfriends. C'est toujours mieux qu'être une infidèle, ou une pauvre coincé ? (09) Je dois néanmoins vous parlez un peu de ma première expérience amoureuse qui m'a laisser une marque assez douloureuse... Il s'appelait Maximilian, surnommé simplement Max. Nous avions tout les deux seize ans, il était sportif et très séducteur. Dans la même école à New York, la grande différence qui souvent créé un écart entre nous étaient "la fortune", la classe fortune. Ses parents immensément riche. Souvent au-dessus des autres, nous avons eut une amourette de sept mois environs. Il a voulu me forcer la main plusieurs fois pour que nous couchions ensemble. Finalement j'ai cédé, mais monsieur n'était pas satisfait, il a donc finit par me larguer, parce que je n'étais pas à la "hauteur". Clairement, il m'a briser, il m'a fait mal. Depuis j'ai terriblement peur de retomber amoureuse, je ne veux pas être de nouveau briser par un homme.